Regarde en arrière!
Le passé me fascine,
Le passé me rend fort.
Aucun remords.
J’ai tracé ma route, je suis sûr de mon sort.
Mes rêves sont des angoisses,
Ils se projetent sur un mur aux confins de ton âme.
Tu n’es qu’un ombre sous mon aile.
Sous un ciel lourd, le brouillard se lève.
Par quele titre, par quelle victoire
Je dois la vie à mon seul et unique combat?
Voir l’amour, où il se cache
Dans la détresse de l’homme,
Dans son orgueil à combattre.
La vie, les rêves et l’espoir,
L’envie, les trêves et l’histoire.
Quand privé de lumière tu ressens dans le noir.
Le temps est au deuil,
Une croix sur ma peine,
Ci-gît le journal de ma haine.
Le temps et au deuil
Car ici gît le journal de ma haine.
Sur ton chemin une étoile se lève,
N’abandonne jamais, les vivants persévèrent.
La rage se meurt de tristesse
Et se brise comme des lames de détresse,
Distille le sens et ravive l’alliance.
Seuls les morts se taisent, un peu de patience.
La vie est une pluie des conséquences.
Elle t’accorde sa confiance.
Sa confiance.
Le temps est au deuil,
Une croix sûr ma peine,
Ci-gît le journal de ma
haine.
Le temps et au deuil
Car ici gît le journal de ma haine.
Vivre ivre et prisonnier
Ou mourir libre pieds et mains sciées.
J’en fais le serment.
La paix de mon âme passe par de choix
Au feu les châtiments.
Ci-gît le journal de ma haine.
Car ici gît le journal de ma haine.
Le temps et au deuil,
Ci-gît le journal de ma haine.