Meurtrie par les caresses de mes mains viles
La beauté s'exile outre monde
Flétries par l'enchantement de mes éloges
Les passions s'abandonnent au mépris
Sept frayeurs accablent mes visions
Une pour chaque aube de la création
Elles amplifient l'écho de mes murmures
Elles accroissent les cris de ma torture
Mon âme réclame quiétude aux géhennes
Celles-ci ignorent la puissance de l'appel
Mon âme réclame quiétude aux grâces
Celles-ci ignorent la puissance de l'appel
Maintes vies succomberont à notre amertume
Mes tourments s'apaiseront peu à peu
Libérons la grâce de votre emprise
Libérons les hommes de cette souffrance